La panthère Jardin des Plantes à Paris Son regard du retour éternel des barreaux sest tellement lassé quil ne saisit plus rien. Il ne lui semble voir que barreaux par milliers et derrière mille barreaux, plus de monde. La molle marche des pas flexibles et forts qui tourne dans le cercle le plus exigu paraît une danse de force autour dun centre où dort dans la torpeur un immense vouloir. Quelquefois seulement le rideau des pupilles sans bruit se lève. Alors une image y pénètre, court à travers le silence tendu des membres - et dans le cur sinterrompt dêtre.