Entre ombre et lumière Vienne, fin de siècle. Inspirée par l’amour, La nuit transfigurée est l’une des pages les plus romantiques et les plus accessibles du très moderne Schönberg. Comme un souvenir de Tristan. La Quatrième Symphonie est la plus classique, la plus claire et la plus optimiste des œuvres de Mahler. Michele Spotti la dirige avec le brio et la riche palette d’un tableau de Gustav Klimt. Avec la voix troublante de la jeune Regula Mühlemann.